U.L.E Chapitre 2

Chapitre 2: Dis-nous pourquoi.

Louella pleurait et tentait de reprendre sa respiration. Son frère la serrait contre lui et elle pouvait sentir à quel point il tremblait. Il a du avoir si peur ! Elle se sentait coupable: elle n'aurait pas du perdre son sang froid. Elle plaça ses mains sur ses joues et lui dit sérieusement:
« Enrick ! Regardes moi, je vais bien. Tout va bien. C'est de ma faute, entièrement de ma faute ! 
-Tu n'y es pour rien, tu n'as fait qu'exprimer ce que tu ressentais »
Eh ? Mais ce n'était pas Enrick qui lui avait répondu. A ce moment, elle se rendit compte qu'une autre personne était dans la pièce. Un homme grand, les cheveux longs, bruns et mal coupés. Il avait beaucoup de barbe. Ses yeux bleu reflétaient beaucoup de sagesse et de colère.
« Mais...c'est impossible, dit Louella. Papa ? »
Soudain, Karine entra dans la pièce. Elle resta clouée sur place puis aperçu l'homme. Dos à elle, elle eu un moment d'hésitation avant de demander :
« Maxence... ? C'est toi ? »
L'homme en question se retourna et sembla surpris. Karine couru vers lui et se jeta dans ses bras en pleurant.
« Mon dieu, Maxence ! C'est vraiment toi ! Tu es enfin rentré, tu m'as tellement manqué! Oh, je t'en pris, ne pars pas, ne disparaît pas à nouveau !
-Chut...tout va bien mon amour. Je ne partirais plus, plus jamais. »
Il se pencha vers elle, prêt à l'embrasser quand Louella cria.
Maxence et Karine se retournèrent. Leur fille était par terre, un couteau planté dans son avant-bras. Enrick maintenait la plaie pour éviter qu'elle ne saigne plus, tout en se retenant de na pas sauter sur son grand-père. Car si il le faisait, Dieu seul sait ce qu'il pourrait lui arriver. Maxence se précipita sur Roger et avant qu'il ne réplique, lui prit ses main et les serra très fort. Karine supplia son mari de ne pas lui faire de mal, mais Enrick intervint :
« Ne pas lui faire de mal ? Maman, réveilles-toi ! Regarde dans quel état est Louella ! Il a voulu la tuer ! Ouvre tes yeux bon sang ! Regarde la réalité en face !
-Enrick ! Tu sembles oublier que c'est mon père, ma famille !
-Peut-être pour toi, mais pas pour nous !
-Enrick....
-Tu n'as jamais vu durant toute ces années le comportement qu'il a eu envers nous ?
-Il n'a fait que remplacer et faire ce que vous manquiez : un père! »
Enrick resta sous le choc : c'était ça son excuse ? Remplacer leur père ? Il la fixa intensément et Karine se rendit compte à quel point ses enfants ont du avoir mal. Soudain, son père se mit à rire :
« Vois ! Vois ma fille comment tes enfants remercient ton père ! En lui rejetant la faute et ils osent t'impliquer !
-Papa...
-Que choisis-tu ?
-Comment ? Que veux-tu dire ?
-Ce n'est pas bien compliqué. Sois tu viens vivre avec moi et plus personne ne te verra comme la méchante, ou bien, il sortit un sifflet rouge, j'appelle quelqu'un de très particulier.
-Non...NON ! Tu ne peux pas faire ça, ils ignorent tout !
-Une bonne occasion de les mettre au courant !
-Es tu fou ? Papa, arrêtes, je t'en supplie, reprend tes esprits !
-Écoute moi bien Karine. Tu fais ton choix et nous serons tranquille. »
Elle ne savait plus quoi faire, ni quoi penser. Depuis quand avait-il autant changé ? Elle regarda son mari, dans l'espoir qu'il l'aide. Comprenant ce qu'elle voulait dire, il lâcha les mains, alla vers elle et lui prit sa tête entre ses mains. Il lui murmura quelque chose et l'embrassa aussitôt après. Roger cria de colère et se précipita sur le couple. Mais il s'arrêta net et s'écroula. Le calme s'installa, puis Karine s'approcha du corps.
« Papa... ? »
Son mari regarda le malheureux. Il était mort, mais pas d'une crise cardiaque, et il avait une petite idée de ce qui s'était passé, et préféra pour le moment, garder ça pour lui.
« Karine, dit-il, je suis désolé, mais ton père...
-Je le sais, j'ai compris...
-Je suis désolé... »
Il la regarda avec des yeux pleins de regrets et la serra dans ses bras. Elle se mit à pleurer doucement et silencieusement.
Enrick ne trouvait pas ses mots, quand il se rappela que ça sœur...
« Louella ! Louella, répond-moi !
-Tu as besoin de crier aussi fort ? Dit-elle, à demi-inconsciente
-Tu vas bien ?
-Plus ou moins. J'ai juste très mal au bras.
-On va appeler le nécessaire, dit leur père »
Tout le monde était fatigué. Ils leur fallait du repos. Les secours et la police restèrent tard dans la soirée. Les pompiers s'occupèrent du corps et Louella fut prise en charge part le samu. Heureusement, elle n'avait rien de grave et la blessure n'était pas profonde. Tout le monde dû témoigner sur les événements qui s'étaient produit.
Quelques heures plus tard, chacun pu enfin souffler. Louella monta dans sa chambre, au calme.
« Mon dieu, mais quelle journée. »
Toutefois, il y a un détail qui lui échappait et elle n'arrivait pas à mettre le doigt dessus. Alors qu'elle se concentrait, on toqua à la porte.
« Oui ? »
Enrick entra, un plateau à la main avec deux sandwichs dessus.
« Ce n'est que moi. Tu as faim ? Maman n'a pas le cœur...à cuisiner.
-Je m'en doute. »
Il entra et déposa le plateau sur le lit. Après s'être installé, il commença à manger suivi de sa sœur. L'ambiance était lourde et aucun des deux ne parlaient. Soudain, il se jeta sur sa sœur et retira l'écharpe qu'elle avait mise autour du cou. Deux belles marques ornaient ce dernier. Il se pinça les lèvres. Louella soupira :
« Tout va bien. Elles partiront dans deux ou trois jours. Tu n'as rien à te reprocher.
-J'aurais pu faire un sorte qu'elles restent moins longtemps.
-Enrick, tu es complètement aveugle...dit-elle la gorge nouée.
-Hein ?
-Tu te plains alors que tu as fait plus important !
-...hein ?
-Tu m'as sauvé la vie, idiot ! »
Puis elle se mit à pleurer sans qu'il comprenne pourquoi. Gêner, il l'a prit dans ses bras, en mettant sa tête par dessus la tête et en caressant ses long cheveux bruns.
« Vous les filles, incompréhensible !
-Désolé...
-C'est bon, pleure »
Elle ne s'en priva pas. Elle pleura longtemps et une fois calmée, serra son jumeau et lui dit :
« Il y a pas quelque chose qui t'a semblé bizarre à un moment ?
-Si. Le moment où grand-père a parlé de faire un choix avec son sifflet rouge.
-Voilà ! Dit-elle en se dégageant brusquement des bras de son frère, manquant de lui faire mal.
-Hein ?
-C'est ça qui me gênait ! Je ne me souvenait plus de ce détail ! Et il a parlé d'une invité particulière !
-Maintenant que tu le dit, maman ne voulait pas qu'on sache des choses. Il n'y a qu'à eux qu'on peut leur demander. Mais pour l'instant, autre chose me préoccupes »
Il se leva, prit la main de sa sœur et l’entraîna à la salle à manger, où ses parents discutaient. Il entra et se mit devant son père.
« Papa...
-Oui ? Demanda-t-il surpris
-Dis nous pourquoi ?
-Pardon ?
-Dis nous pourquoi tu as disparu pendant sept ans. »

A suivre...

J'aime bien (Ouah il est mort l'vieux !! xD)
Par contre, ya quelques trucs qui sont assez gênants dans la lecture. Je m'explique :

Roger : j'ai dû revenir sur le premier chapitre, persuadé que j'avais loupé quelque chose, mais non. Libre à toi d'appeler le grand père Roger hein ! ^^ Mais introduit le un peu avant, et pas dans un dialogue ^^

Il y a aussi quelques tournures de phrases maladroites ( ça me semble pas trop français d'ailleurs xD), et qui nuisent un petit peu à la compréhension :

et faire ce que vous manquiez : un père!

"Il n'a fait que remplacer ce que vous n'aviez pas : un/votre père !" aurait été mieux je pense =)

On va appeler le nécessaire

Nan. "On va faire le nécessaire" ou "on va appeler les pompiers", mais pas les deux à la fois xDD

Il y a aussi un "faux-raccord" :

Maxence se précipita sur Roger et avant qu'il ne réplique, lui prit ses main et les serra très fort

puis, après le dialogue entre Enrick et sa mère :

Ce n'est pas bien compliqué. Sois tu viens vivre avec moi et plus personne ne te verra comme la méchante, ou bien, il sortit un sifflet rouge

Ce grand père est décidément très bizarre, il arrive à sortir un objet de sa poche sans les mains ! HOUDINI POWER !!! xD

Enfin, une dernière chose : je sais que poster sur le forum n'arrange pas la mise en page (c'est pas évident, je crois que les alinéas sont supprimés d'ailleurs), essaye d'aérer le texte en sautant une ligne entre les scènes importantes, par exemple :

Tout le monde était fatigué. Ils leur fallait du repos. Les secours et la police restèrent tard dans la soirée. Les pompiers s'occupèrent du corps et Louella fut prise en charge part le samu. Heureusement, elle n'avait rien de grave et la blessure n'était pas profonde. Tout le monde dû témoigner sur les événements qui s'étaient produit.

Quelques heures plus tard, chacun pu enfin souffler. Louella monta dans sa chambre, au calme.

ça passe mieux avec un passage à la ligne, autant pour toi (avoir un suivi de l'histoire, corriger les fautes) que pour le lecteur ^^

Pour ça, ouvre un roman quelconque et regarde les sauts de ligne, voir où ils sont placés, pour avoir un peu la même chose =)

...

Ouais, j'me rend compte que maintenant que j'ai écrit un roman ! Navré ! xD
Sinon, l'histoire est très intéressante, continue =)

...Eh ben ! C'est des conseils de pros que tu me donnes Bouleto !! Je note, je note x)

Ravie que ça te fasse plaisir et je vais redoubler mon attention pour les fautes de syntaxes et les...ouais, les trucs qui sont vraiment pas logiques .-. (ouais, il est balèze le grand père xD)

Un dernier conseil de "pro" ? Cesse de m'appeler Bouleto ><

D'accord Boule...nan, j'arrête >_<

A quand la suite ?? *o* Moi, je veux moi *o*

Euh...quand j'aurais corrigé les fautes et refais la mise en page ^^
Pour bientôt donc x)